Ce test a été fait dans un autre forum:
http://phoenixwright.bb-fr.com/Commissariat-de-police-f6/Test-d-un-jeu-qui-ma-marqueGrandia-t291.htm
C'est un test que j'ai fais sur jeu qui a marqué ma vie.
Petit retour dans le temps,je suis un jeune petit cm2 qui s'ennuie beaucoup,mais ma maman veut me faire plaisir et m'invite a m'acheté un jeu pas cher au carrefour.
Je regarde dans les rayons Psone pour y trouver mon bohneur et jetombe sur un petit jeu tres sympa du nom de Grandia,mon frere me ditque c'est bien alors on l'achetes,je lance enfin le jeu dans ma petite play...
Une magnifique intro mélangeant 2D et 3D apparait,assez longue,le jeu commence...
histoire:
L’histoire commence dans la petite ville de Parm, où Justin et Sue, deux gamins inséparables et qui rêvent de grandes aventures, font les 400 coups; cette fois ils relèvent le défi de Gantz, un de leurs camarades, qui leur demande de retrouver les quatre éléments d’un « équipement de combat » préalablement dissséminés à travers la ville (entre autres un couvercle de poubelle qui joue le rôle d’un bouclier, rien de bien létal donc). Cette première quête permet de se familiariser tranquillement avec les différentes commandes et l’univers très mignon (souvent à la limite du puéril) du jeu. Tout s’emballe le lendemain, lorsque le directeur du musée local, connaissant la soif d’aventure de Justin et de Sue, leur remet un laissez-passer pour visiter les ruines de Sult. Une fois sur place, les garnements font une découverte qui les emmènera dans une quête bien évidemment épique et pleine de rebondissements, dont les civilisations antiques, la magie divine et les intérêts politiques tireront les ficelles.
realisation:
D’un point de vue graphique, Grandia a beaucoup de mal à cacher son grand âge : les divers décors, intégralement en 3D temps réel, sont pauvrement texturés et modélisés tres mochement (le cubisme est à l’honneur). Le tout reste quand même supportable et offre en outre un avantage indiscutable sur le pré-calculé : la possibilité de faire pivoter la caméra, un principe simple mais qui évite les angles de vue retors et les soucis de visibilité qui s’y rattachent généralement. La première scène du jeu met d’ailleurs l’accent sur cet atout par un long travelling suivant Sue qui traverse la ville en courant, et le joueur aura droit à un effet du genre à chaque fois que nos héros pénètreront dans un nouveau lieu. Pendant les combats, les graphismes restent les même puisque les personnages et les effets visuels (liés à l’utilisation des magies et des techniques spéciales) seront là aussi représentés dans une 2D de bonne facture, avec en toile de fond un décor en 3D classique.
gameplay:
Le système de combat est relativement similaire à celui de n’importe quel Final Fantasy, mais possède quelques spécificités qui le rendent nettement plus dynamique : premièrement, les personnages ne restent pas statiques et bien en rang dans la zone de combat, ils se déplacent librement tout comme leurs adversaires et il est indispensable d’en tenir compte pour choisir quel ennemi attaquer en priorité selon sa position. Ensuite, la notion de contre joue un rôle prépondérant et explique l’existence de deux types d’attaque directe : « danger » et « combo ». La première est une attaque puissante mais lente (donc très exposée à un éventuel contre), tandis que le « combo » se compose de deux attaques plus légères qui (et c’est leur force) peuvent permettre de contrer (voire d'annuler) plus facilement un assaut adverse. Pour repérer les ennemis qui s’apprêtent à attaquer, rien de plus simple : une « barre de temps », située en bas à droite de l’écran et sur laquelle sont représentés tous les personnages amis ou ennemis, permet d’être toujours au courant de la situation. A ces attaques à l’arme s’ajoutent bien évidemment les classiques magies (qui s’apprennent grâce à la vente des oeufs Mana collectés tout au long de l’aventure) et des techniques spéciales spécifiques à chaque personnage. Dernier point important : plus un personnage utilise une arme d’une classe donnée (épée, arc...), plus son habilité avec ce type d’arme sera grande, et une fois un certain niveau de maîtrise atteint, de nouvelles techniques seront disponibles; sur le même principe de l’accumulation d’expérience, de nouvelles magies viendront s’ajouter petit à petit à celles de base. Grâce à ces nombreuses possibilités, les combats offrent beaucoup de variété si le joueur décide d’en exploiter toute la richesse.
Les ennemis sont physiquement représentés lors des phases d’exploration : à vous de les prendre par surprise avant qu’ils ne vous piègent ! Impossible de s’ennuyer lors des combats : il faut par contre toujours garder un oeil sur la « barre de temps » pour planifier ses attaques.
en plus de toutes ces qualites, on peut ajouter une bande-son agréable et sublime et des boss qui ont vraiment de la classe. Et pourtant, le tableau final est loin d’être idyllique : les boss, justement, ont beau être stylés, ils sont dans l’ensemble d’une faiblesse affligeante, et la méthode la plus élémentaire (les harceler de coups en alternant attaques directes et magies et en prenant soin de soigner son équipe de temps à autre) est presque toujours la meilleure.
Les boss ont bénéficié d’un dessin très soigné et rappellent l’époque 16 bits par leur style... et leur abondance. Ils ne donneront par contre de fil à retordre à personne. Les menus du jeu sont vraiment agréables à consulter : Leur sobriété et leur clarté sont tout à leur avantage.
Grandia - 07
Les amateurs de liberté en seront pour leurs frais : on sélectionne le lieu où on veut aller sur la carte et ça s’arrête là.
conclusion:
A titre personnel,:Grandia a une ambiance incroyable et bon enfant,j'adorait ce jeu et je le consideres toujours comme mon rpg referes avec ff9 et ce malgres ces nombreux defauts(histoire classiques,boss facile)
https://www.youtube.com/watch?v=8OI3PcigdLM
https://www.youtube.com/watch?v=ho4IsZV8VwU
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